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ARTICLES DE PRESSE
paul tojean
TOUJOURS POUR LA PREMIERE FOIS
Une porte s’ouvre
Des fenêtres se ferment
Toutes les lignes de ma main se prolongent
Tes yeux au cœur de la nuit
Caressent les ombres froides
Où tu défais doucement les nœuds de la réalité
Je te sais patiente
Toute nue tu frôles les abîmes.
Immobile je te prends dans mes bras
Ton corps se mêle au mien
Pour n’en plus faire qu’un
Tu deviens femme
Je deviens homme…
Toujours pour la première fois…
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