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À propos...

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Je suis né à Saint-Affrique un certain 17 janvier (quatre jours avant la disparition du poète Blaise Cendrars et six mois précédant celles des écrivains Louis-Ferdinand Céline et d’Ernest Hemingway). Que cela ne tienne ! Des années plus tard, la poésie viendra me hanter, jusqu’à savourer, à 17 ans, Le vin de l’assassin, ou L'albatros de Baudelaire, pour leur aspect scénique. Ma vie professionnelle débute à Centre Presse, à Rodez. D’abord comme typographe, puis successivement comme photocompositeur et technicien d’édition et enfin journaliste. Par ailleurs, de 2003 à 2017, j’ai consacré tous les dimanches, dans les colonnes du journal, un espace poétique à des auteurs et auteures de divers horizons. En outre, j’ai publié plusieurs ouvrages de poésies parus aux éditions l’Harmattan, Brumerge et dernièrement chez Sinope Editions.

Côté culture, je voue une passion particulière pour le surréalisme, tandis que les récits d'Annie Leclerc, professeure de philosophie m’ont inspiré pour la rédaction des poèmes d’amour, concis, quelque peu surréalisants que vous pouvez découvrir sous l'onglet Poésies. Mes préférences littéraires s'orientent vers ces grands auteurs que sont Paul Eluard, Philippe Soupault, André Breton, Benjamin Péret, Michel Leiris, Georges Bataille, Annie Le Brun... En ce qui concerne l'art, mes choix se portent vers René Magritte, André Masson, Leonora Carrington, Remedios Varo, Max Ernst, Yves Tanguy… Voici une petite anecdote qui m’est arrivé il y a quelques années. Lors d’une exposition du surréalisme, au Centre de la Vieille Charité, à Marseille, intitulée La planète affolée,  je profitais de l’inattention du gardien qui faisait les cent pas dans la salle pour toucher du bout des doigts Le Palais aux rochers de fenêtres, d'Yves Tanguy. Des frissons parcoururent mon corps tandis que le tableau du maître m’aspira. Je rentrais dans cette toile à la découverte de ce paysage infini.

C’est étrange cette sensation de pénétrer la toile d’un peintre. J’aimerai que cela se produise avec n'importe quelle œuvre de Clovis Trouille ou de Paul Delvaux !

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